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6 octobre 2021 3 06 /10 /octobre /2021 09:32

ATTENTION un "nouveau candidat" approche de nos côtes!....
Le Frelon oriental détecté à Marseille
La "FAMILLE s'agrandit =FRELON EUROPEEN - FRELON ASISTIQUE et maintenant FRELON ORIENTAL
D'autres FRELON GEANT ou BICOLORE agissent aux USA et ESPAGNE...


Source /- https://lnkd.in/gwmg-TAN
5 octobre 2021 par rome | Catégorie: Actualités, Colonisation |
Des ouvrières du frelon oriental, Vespa orientalis, viennent d’être capturées à Marseille, prouvant ainsi la présence d’un nid dans le quartier de la Cabucelle (Gereys et al., 2021).
Le Frelon oriental est facilement reconnaissable, il est entièrement roux à l’exception de la face antérieure de la tête et des 3e et 4e segments de l’abdomen qui sont jaune. Les nids sont en général installés dans des cavités, dans le sol ou des bâtiments, sans enveloppe. Lorsque le nid est aérien, il peut être accroché à un bâtiment ou de la végétation, et possède alors une enveloppe grise (bois) mêlée de particules du sol.
Le frelon asiatique, Vespa velutina, est à dominante noire. Le frelon d’Europe, Vespa crabro, présente un thorax noir avec des tâches rouges plus ou moins étendues, l’abdomen est noir rayé de jaune.
Tout comme les autres frelon, son cycle de vie est annuel. La jeune reine hiverne à l’abri des intempéries. Elle se réveille au printemps, recherche des liquides sucrés pour se nourrir, puis un emplacement où fonder son nid (arbre creux, intérieur d’un bâtiment, etc.). Elle élèvera ses premières larves en les nourrissant avec des proies (abeilles, guêpes et mouches surtout). Les colonies sont de taille similaire à celles de Vespa crabro, soit environ 1000 individus à son apogée. Les individus sexués quittent le nid à l’automne, le reste de la colonie mourra pendant l’hiver. L’espèce n’est pas agressive si son nid n’est pas dérangé, mais elle risque de poser des problèmes aux activités apicoles.
L’espèce est originaire d’Afrique, du Moyen-Orient, d’Asie et d’Europe du Sud. Introduite en Europe (Italie du Nord et Espagne). Elle préfère les milieux ouverts et urbanisés...
A suivre...


Source PHOTO =  https://lnkd.in/g-d_WpDH

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10 mai 2012 4 10 /05 /mai /2012 14:09

Colloque de la Société nationale d’Horticulture de France (SNHF).

Les racines de la quasi-totalité des plantes terrestres cohabitent avec des microorganismes spécialisés, champignons ou bactéries.

Les communications scientifiques présentées lors de ce colloque explorent les différentes facettes de ces associations et mettent en lumière leur rôle central dans l'écologie et l'évolution des plantes.

Les racines de la quasi-totalité des plantes terrestres, arbres des forêts, herbes des prairies, fleurs des jardins ou plantes de grande culture, cohabitent avec des microorganismes spécialisés, champignons ou bactéries. Ces associations sont souvent méconnues et leur importance pratique sous-estimée, même chez les agronomes, horticulteurs et forestiers. Ce sont des symbioses mutualistes, c’est à dire des associations obligatoires, intimes, durables et à bénéfices réciproques. Sous la forme de nodosités ou de mycorhizes, ces racines hébergent des microorganismes et sont le siège des échanges entre les deux partenaires : la plante alimente le champignon ou la bactérie en carbone provenant de la photosynthèse réalisée au niveau de ses feuilles et, en contrepartie, le champignon aide la plante à absorber l’eau, l’azote, le phosphore et les autres éléments nutritifs du sol, la bactérie permettant elle un accès à l’azote atmosphérique.

Les huit communications proposées lors du colloque scientifique 2012 de la SNHF explorent différentes facettes de ces symbioses, soulignent leur rôle central dans l’écologie et l’évolution des plantes. Les intervenants viennent du CNRS, de l'Inra, de l'université Montpellier II et de l'université Paul Sabatier Toulouse. Ils font partie des meilleurs chercheurs français dans le domaine. En traitant chacun d’un aspect pointu du sujet, ils permettront de faire le point des connaissances actuelles et de leurs applications.

Colloque le 25 mai 2012
SNHF • 84, rue de Grenelle • 75007 Paris

 

Voir articles BLOG ATPV INFOS...

Le végétal : Un rapport de force et d’équilibre au jardin !...

PROGRAMME "Trees4future"... Concevoir les arbres de demain...

Le régime alimentaire modifie les espèces!...

La Vie du SOL équilibre indispensable… partie 02

Le ver de terre: bio-indicateur de nos sols…

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4 avril 2012 3 04 /04 /avril /2012 10:29

Lutte contre le charançon rouge du palmier

Source/-  FREDON CORSE + VILLE de NICE et TOULON…

Photos: Eric CHAPIN

 

2012 = ALERTE SUR LES PALMIERS du sud de le France !…

Le charançon rouge du Palmier est une espèce nuisible pour les plantations de Palmiers. Il peut entraîner la mortalité des palmiers les plus attaqués. Les premiers symptômes n'apparaissent que bien après le début de l'infestation.

Présent en Asie dans les années 1970, le charançon était jusque là strictement tropical. Ce n’est qu’en 1980 qu’il apparaît au Moyen-Orient et au Nord de l’Afrique. Il est signalé en Egypte en 1992, Espagne 1993, Palestine 1999, Japon 2000, Italie 2004, Grèce 2005 et la France en 2006.

Le charançon rouge atteint exclusivement les Palmiers.

Dans les régions méditerranéennes, les deux variétés les plus sensibles sont le Palmier dattier “Phoenix dactylifera” et le Palmier des Canaries “Phoenix canariensis”.

 

Le charançon rouge du Palmier =  “Rhynchophorus ferrugineus”.

 

DSCN2823-11) Biologie :

Le Rhynchophorus ferrugineus est redoutable. Il se développe de manière cryptique (les larves demeurent totalement invisibles pendant des mois) et donc, les Palmiers attaqués ne présentent que très peu de symptômes. Une fois l’intérieur du palmier complètement vidé, celui-ci meurt subitement, voire se casse, libérant alors des centaines d’adultes. Par ailleurs, la capacité de ponte (entre 100 et 300 oeufs par femelle) donne à ce ravageur de couleur rouge vif une capacité de destruction considérable.

2) Description et morphologie :

Ils sont de couleur blanc crème et de forme ovale. Ils mesurent 2.6 mm de longueur et 1.1 mm de largueur.

Les larves  sont apodes (dépourvues de pattes), de couleur jaunâtre, mesurant jusqu’à 5 cm de long. Le stade larvaire dure de 1 à 4 mois, et jusqu’à 9 mois si la larve cesse de se développer en hiver. Les larves détruisent le système vasculaire des Palmiers en se nourrissant du tissu vivant du stipe. Ce n’est qu’en fin de croissance, que les larves construisent une coque en fibres végétales où s’effectue la nymphose (transformation de la larve pour atteindre la forme adulte). La nymphose dure de 2 à 4 semaines. Les larves effectuent leur cycle complet dans les palmes.

Les adultes sont des charançons qui mesurent de 2 à 4 cm de long et 1.2 cm de large. Ils ont un long rostre (prolongement rigide de la tête) incurvé de couleur brun rouge dorsalement et de couleur brun noir sur la partie ventrale. Les yeux noirs se situent à la base du rostre. Les mâles possèdent sur une partie du rostre un feutrage brun foncé, tandis que les femelles ont un rostre glabre, plus long et plus incurvé.
Le pronotum (plaques de la face dorsale du premier segment du thorax) est de couleur brun rouge avec quelques points noirs. Les ailes antérieures sont rouges sombres et nervurées longitudinalement. Ils possèdent deux antennes coudées. Les femelles pondent entre 100 et 300 œufs durant leur vie. La durée de vie des adultes est de 2 à 4 mois. Ils sont dotés d’un vol puissant, pouvant franchir jusqu’à 7 km.

3) Symptômes et dégâts :

Les Palmiers attaqués présentent très peu de symptômes apparents. Ils meurent subitement et se cassent sous l’effet du vent. Cependant, la présence du charançon rouge se signale par quelques signes discrets d’attaque. Des suintements liquides bruns et visqueux apparaissent sur le Phoenix dactylifera. Sur les autres palmiers, on observe soit, de petits tas de fibres broyées issues des orifices percés par les larves, soit, des morsures ou des orifices sur les palmes. On observe aussi un desséchement de la couronne ainsi que des cocons à la base des palmes.

 4) Un parasite de blessures !... Ces trois facteurs favorisent la ponte des œufs.

- les blessures naturelles.

- les blessures dues à la coupe des palmes.

- les récoltes ou l’élimination des régimes de fruits.

 5) Moyens de lutte :

Culturale :

Il faut éviter de tailler les Palmiers en période de vol (mars à octobre). Les blessures naturelles, dues à la coupe des palmes ou celles dues aux récoltes de fruits doivent être protégées par du mastic cicatriciel. Enfin, il faut éviter d’importer des Palmiers originaires de zones infectées.

Biologique :

Il existe plusieurs ennemis naturels du charançon rouge du Palmier, pathogènes (entraîne une maladie) ou entomophages (qui se nourrit d’insectes). Ce sont des nématodes (vers ronds) entomopathogènes appartenant aux familles des “Steinernematidae” et des “Heterohabditidae”, associés aux bactéries symbiotiques du genre “Xenorhabdus”. L'efficacité de ces nématodes sur le terrain est toutefois assez limitée (50% de mortalité sur les larves) et leur survie est seulement de 24 h sur les palmiers infestés.

Le piège à phéromones :
Il suffit d’un seau fermé (15 à 20 l), percé de 8 trous rectangulaires (5 × 8 cm), contenant une solution mélangée d’eau et d’insecticide.
Des capsules de phéromones et du matériel végétal du Palmier (dattes, cœur de rejet) amplifient le pouvoir attractif du piège.
La solution retient et tue les insectes capturés par ingestion ou contact avec l’insecticide.
Les pièges sont attachés aux stipes des Palmiers.

 

Degats-de-CHARANCON-ROUGE.JPGStratégies de lutte en zones urbaines ou jardins privés

Palmiers contaminés avec bourgeon terminal attaqué

-Traitement des parties aériennes (pulvérisation foliaire) des palmiers reconnus contaminés avant la destruction de l'arbre selon le protocole. Ce traitement a pour but de diminuer significativement les risques de dissémination des adultes lors des opérations de destruction (élagage, tronçonnage et transport).

Palmiers récemment contaminés (bourgeon terminal indemne)

-Pose d'une bâche au sol autour de l'arbre afin de pouvoir récupérer pour destruction les résidus de taille et les larves ou cocons de charançon.

-Taille sévère des palmes de la couronne pour dégager le cœur.

-Nettoyage des cocons et larves pouvant rester sur la couronne.

-Destruction sur place des palmes par broyage fin ou par le feu ainsi que tous les résidus de taille et larves, cocons et adultes récupérés.

-Traitement foliaire insecticide et fongicide du cœur. Bien mouiller la végétation et les plaies de taille.

-Installation de pièges sur la zone et comptage des captures tous les 15 jours.

-Renouvellement du traitement 20 jours après le premier traitement.

-Renouvellements du traitement si captures de charançons dans les pièges (20 à 30 jours d'intervalle entre deux traitements suivant le produit employé).

-Arrêt des traitements s'il n'y a pas de capture pendant un mois.

-Reprise des traitements en cas de nouvelles captures.

Palmiers sensibles (situés en zone contaminée)

-2 à 3 traitements préventifs par application foliaire des palmiers proches d'un foyer (20 à 30 jours d'intervalle entre deux traitements suivant le produit employé).

-Installation de pièges sur la zone et comptage des captures tous les 15 jours.

-Ne pas traiter tant qu'il n'y a pas de captures.

-Traitement en cas de captures (20 à 30 jours d'intervalle entre deux traitements suivant le produit employé)

-Arrêt des traitements s'il n'y a pas de capture pendant un mois.

 RESPECTER La réglementation :

Depuis le 22 juillet 2010 la lutte pour l’éradication du Charançon Rouge du Palmier (CRP) Rhynchophorus ferrugineus est obligatoire sur tout le territoire national par arrêté ministériel.

Il s'adresse à tout propriétaire public ou privé conformément aux dispositions réglementaires européennes et définissant le protocole et conditions d’application de ces mesures.

Réussir l’éradication de cet insecte, nécessite une mobilisation générale, en effet cet insecte ne connait aucune limite administrative, politique, ou de propriété publique ou privée. Sauver nos palmiers demande que les palmiers infestés soient détectés et traités à temps avant que le bourgeon terminal du palmier ne soit atteint, et que les insectes n’aient pas infestés les arbres voisins.

 

SAUVER le PATRIMOINE ARBORE et l’IMAGE DES VILLES…

Sur le territoire de Nice…

L'arrêté municipal du 8 février 2011 se référant à l'arrêté ministériel du 21 juillet 2010 relatif aux mesures de surveillance et de lutte obligatoires pour tout propriétaire public ou privé contre le Charançon Rouge, et encadrant leur mise en oeuvre EST APPLICABLE

En cas de non respect de l’arrêté ministériel portant obligation de mise en œuvre des mesures de surveillance et d’éradication du Charançon rouge vous vous exposez à des sanctions pouvant aller jusqu'à 30 000 euros d’amende et 6 mois de prison.

 

 ATPV INFOS…

ARBRES URBAINS = Une gestion durable de notre patrimoine végétal demande des modifications de notre "concept urbain" d'aujourd'hui!...

Programme PRATIQUE = DANGER et VIGILANCE PARASITAIRE

ESPOIR d'aujourd'hui POUR sauver L'HISTOIRE du PLATANE...

 

 

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23 février 2012 4 23 /02 /février /2012 08:19

 

Publié le 22/02/2012 08:50 | Frédéric Neuman - La DEPECHE du MIDI - TOULOUSE

Les Carmes. Le micocoulier sera abattu
Le micocoulier de la rue Ozenne./Photo DDM, F.N.
Le micocoulier de la rue Ozenne./Photo DDM, F.N.
Le micocoulier de la rue Ozenne./Photo DDM, F.N.

Les 425 signatures recueillies par la pétition lancée par Dorothée Lebrun et Jeanne Delecluse n'auront pas suffi. Le micocoulier de la rue Ozenne devra être abattu pour raison de sécurité. En janvier dernier, ces amoureuses des arbres se mobilisaient pour empêcher l'abattage du micocoulier implanté sur le terrain du Crédit agricole de la rue Ozenne. « Émerveillée par cet arbre, j'avais été très déçue d'apprendre qu'il allait être abattu » raconte Dorothée. Malade et menaçant de tomber selon une première expertise, il devait être enlevé. Reçus et entendus par le Crédit agricole, les défenseurs de l'arbre avaient tout de même obtenu la réalisation d'une nouvelle étude. S'il ne peut pas estimer précisément l'espérance de vie du micocoulier, le second expert a confirmé sa dangerosité. « Aujourd'hui, il est difficile pour un arbre de dépasser 70 ou 100 ans dans un environnement urbain » regrette l'expert botaniste Alain Baeriswyl. Décision est donc prise de l'abattre. Une décision que regrette Dorothée, mais qu'elle comprend. « Le risque existe, le Crédit agricole ne peut qu'en tenir compte ». Néanmoins, pour ses défenseurs, l'histoire de cet arbre doit servir de leçon. « Il faut faire attention aux arbres dans la ville, leur laisser l'espace dont ils ont besoin et ne pas reproduire les mêmes erreurs » demande-t-elle.

Il sera remplacé

Comme le raconte Alain Baereswyl, le micocoulier n'avait pas été idéalement entretenu pendant des années. Une situation qui aurait donc pu être évitée selon Dorothée. À ce jour, la date d'abattage n'est pas encore connue mais le Crédit agricole l'assure, le Micocoulier sera remplacé, certainement par un érable.


Quel arbre pour lui succéder ?

Le nouvel arbre sera certainement un érable, originaire de la région de Cappadoce en Turquie. D'après Alain Baeriswyl, « c'est un arbre magnifique qui nécessite peu d'entretien. Il permettra de respecter la symbolique de l'arbre et de créer une nouvelle histoire pour le quartier ».

 

 

DOSSIER SUIVI par ATPV - ALAIN BAERISWYL

PROGRAMME "Trees4future"... Concevoir les arbres de demain...

La racine: conditionne le comportement général de l'arbre...

Forêt urbaine : des forêts dans la ville…

L'eau: pouvoir de croissance végétale!...

Les collections végétales: ERABLES...

La Vie du SOL équilibre indispensable… partie 02

Nos espaces verts sont trop PROPRES !...

SURPRENANT ERABLE: ACER CAPPADOCICUM « Aureum »

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